Ani sogoma. Le burkina faso, nous vo
ila de retour on commençait juste à se mettre dans le rythme de la bas....entre nos escapades en brousse ou les journées ou on refait le monde dans le cabaret du coin, toujours avec la présence de notre yacuba ( qui c'est renommé kouakou). Pas peur au ventre quand il s'agit de boire (bière, bissap, tchapalot, lait de petit mil, vin de palme, jus de gingembre, thé marocain et nescafé avec de la mousse) ou de manger (patate douce, igname, banane plantain, tarot, to, boulette de haricot, feuille de courge, haricot et de tout les autres arbres, gombo, chenille farci au feuille de karité, graine de coton,arachide fraîche, maïs grillé, aubergine spécial, fruit de karité, pomme cannelle sauvage...) on a goûté a tout et on est toujours en bonne santé......
On c'est très vite habitué a l'environnement rustique et notre petit confort ne nous a pas manqué. On as beaucoup appris en partagent la vie au quotidien. Tout les occasions de rencontre on été très enrichissante même si parfois la langue nous rappelle ces barrières, mais notre joula c'est considérablement améliore après un ou deux doro.
Bamouso (mama en joula) est devenu la mère de tout boromo et maud in aurait pu se marier au moins 10 fois.
Quand est ce qu'on y retourne....^^
